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C’est ma faute, mes enfants ont tourné le dos à la foi

© iStockphoto
La meilleure éducation chrétienne, en paroles comme en actes et en rituels, n’assure pourtant pas que les enfants ne suivront pas pour finir une autre voie.
Nathania Clark

L’adolescence représente souvent un cap difficile de remise en question de la foi. Pour les parents, cette évolution peut engendrer des sentiments d’inquiétude, de tristesse, voire de culpabilité.
«On voulait qu’ils suivent la formation donnée à l’Eglise. Puis vers quatorze ou quinze ans, on les jugeait suffisamment adultes pour prendre une décision personnelle», explique Claude, maman de quatre fils aujourd’hui pères à leur tour. Deux d’entre eux sont engagés dans la foi, les deux plus jeunes sont en retrait plus ou moins marqué.
C’est également lors de l’adolescence de leur quatre enfants que Serge et Yvonne s’aperçoivent de leur prise de distance, malgré une vie familiale jalonnée de moments de partage intenses et d’exaucements significatifs.

Dossier: Spiritualité
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