Décider de ne plus voir ses parents, de rompre toute communication avec eux ? Certains jeunes adultes en ont fait le choix. Dès lors, il faudra faire avec le silence imposé… Pour autant, il ne s’agit pas de «vivre dans la résignation, mais dans l’acceptation», affirme Jean-Michel Martin. Et le psychothérapeute d’expliquer : «La différence, c’est que l’acceptation entretient une disposition d’esprit, l’idée que peut-être viendra un temps mûr pour aborder le problème». En attendant, on porte en quelque sorte le deuil…