Ex-otages, ils évoquent la vie après l’épreuve
Depuis le retour de Daniel, vous avez tenu à faire le tour des nombreux lieux de soutien qui, en France et au-delà, ont milité pour réclamer cette libération pendant des années. N’était-ce pas épuisant? N’aspiriez-vous pas au calme?
Françoise Larribe : Il est vrai que maintenant encore, nous sommes extrêmement sollicités et que nous avons un peu de mal à répondre à toutes ces demandes nombreuses et variées !
Nous avons besoin d’un peu de recul et ressentons la nécessité de passer à une autre dimension que celle d’ex-otages et de famille d’otages. Mais nous nous devions aussi de remercier personnellement les nombreux comités de soutien, qui ont été merveilleux et très utiles.
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