«Mon meilleur ami est le seul qui sait me pardonner mes fautes sans mʼaimer moins», écrivait Henri-Frédéric Amiel, écrivain et philosophe suisse dans son très volumineux journal intime de près de 17 000 pages. Et si ce meilleur ami existait en la personne du conjoint? Une telle réalité est-elle possible? Est-ce souhaitable? Réponse et tour dʼhorizon avec Simone Klinghammer, conseillère conjugale et familiale.