J’implique mes enfants
Ils n’avaient qu’une année de mariage lorsqu’ils ont hébergé un cousin, dans une chambre libre de leur ferme. A un certain moment, ils accueillaient même deux couples et une jeune femme dépressive.
Cet état d’esprit, ils ont continué à le cultiver avec leurs enfants. Ils ont même eu à cœur d’acquérir un trampoline pour inviter les gosses du village. «Nos enfants étaient plutôt fiers de ça», relève Diana. Et lorsque leur fils aîné a rejoint le groupe de jeunes de leur Église, ils ont mis gracieusement leur salon à la disposition d’une trentaine de jeunes, deux vendredis soirs par mois. Lors de ces soirées, Diana et Luc sortaient avec leurs cadets, alors trop petits pour participer au groupe, manger une glace ou un repas au fast-food pour libérer la maison. Parfois, pour pouvoir échanger en petits groupes, les jeunes investissaient même les chambres.
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