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Quand la suroccupation touche nos enfants

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Comment ne pas surcharger l’emploi du temps de nos bambins? Conseils de Christine Lemaire, auteur de «La surchauffe de nos agendas» (éd. Fides).

Aujourd’hui beaucoup d’enfants s’investissent dans une ou plusieurs activités extrascolaires. Faut-il s’en réjouir?
Oui, il faut s’en réjouir, puisqu’une offre d’activités riche et diversifiée ne peut que contribuer positivement à leur développement. Chaque enfant a désormais la chance de développer des talents et des passions qui lui sont propres.
Cependant, devant cette offre extraordinaire, une autre grande opportunité d’éduquer nos enfants s’offre à nous: développer leur capacité de choisir. Dans notre monde où existent tant de possibles, cette faculté est devenue aussi capitale pour eux que le cours de violon ou de judo que nous leur ferons prendre.
Le fait d’apprendre à un enfant que ce n’est pas parce que c’est possible que c’est bon pour lui, le fait qu’il apprenne à choisir non pas entre le pire et le meilleur, mais bien entre le meilleur et le meilleur. Enfin le fait que, s’il est bon d’explorer, il est tout aussi bon de persévérer dans une discipline que de se tourner vers autre chose à la moindre difficulté ou le moindre signe d’ennui (sous prétexte d’«explorer»), sont des attitudes, des vertus, pourrions-nous dire, à développer.

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