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Sa réussite scolaire est aussi la mienne

© Alliance Presse
Les difficultés scolaires touchent beaucoup d’enfants. Auteur de «Réussir à l’école, une question d’amour» (éd. Larousse), le pédopsychiatre Stéphane Clerget invite les parents à contribuer à la réussite scolaire de leurs enfants.
Sandrine Roulet

De nos jours, n’y a-t-il pas une trop grande pression sur les enfants pour qu’ils réussissent à l’école?
Oui, la pression est clairement plus importante qu’avant. Lorsque les familles étaient plus nombreuses, on acceptait que certains enfants soient moins doués que d’autres. Autrefois, quand un enfant avait des problèmes scolaires, on se contentait de dire: «Il est bête, c’est comme ça». Les parents n’étaient pas remis en cause. Aujourd’hui, avec les progrès de l’éducation et les discours sur la psychologie, les parents se sentent d’avantage coupables de l’échec scolaire de leur progéniture, considéré comme un échec personnel. Cela renforce leur inquiétude et leur culpabilité, et donc la pression scolaire.

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