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Sos samedi, les parents sur la brèche!

© Alliance Presse
Découvrez la chronique de Sylvie Barth.

Il fut un temps béni, où j’aimais les week-ends. Oh, le bonheur défunt de nos balades interminables, escapades tendres et moments torrides, longues nuits de complicité, réveils doux et progressifs… Autrefois.
Car maintenant, ce temps béni est vraiment fini ! Dès le vendredi soir, la tension monte, je commence à sentir mon estomac se tordre. Mon rythme cardiaque s’envole, ma tête s’affole. Enfer et fin de partie, je ne réponds plus de rien…
Non, pour être franche, le processus démarre dès le mardi soir. Puis, cela ne cesse de s’aggraver. Et patati et patata, agenda patatras, cela ne va pas. De tout le dimanche, je ne décolère pas. En fait je n’ai plus qu’un jour de paix : le lundi. Le lundi est mon jour de joie : tout le monde dort comme un rat mort, et rien n’est encore prêt pour me faire courir sans trêve quand c’est l’heure du repos.

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