«Plus de deux enfants ? Nous ne pouvons simplement pas nous le permettre !». Quand ce couple m’a fait comprendre, il y a quelques années, qu’il ferait dépendre sa planification familiale de sa situation financière, j’ai secoué la tête d’incompréhension. Ma philosophie était la suivante : là où les moyens suffisent pour nourrir deux enfants, ils peuvent aussi subvenir aux besoins de trois.
Aujourd’hui, je vois tout cela d’un autre œil. Au plus tard au moment de la scolarisation, les parents prennent conscience du nombre de leurs enfants à l’état de leur porte-monnaie. Un, deux, trois, quatre ou plus : la différence se ressent très clairement.