«Prendre le smartphone de votre ado, c’est l’amputer d’une partie de lui»
Dans Le jour où mon robot m’aimera, vers l’empathie artificielle (éd. Albin Michel), le psychiatre Serge Tisseron prend le pari d’anticiper la venue des robots dans notre quotidien. Si son propos peut paraître alarmiste, le spécialiste des écrans tente en réalité de donner des clés pour anticiper au mieux cette révolution, en prenant conscience de notre rapport aux objets, et principalement à notre smartphone. Entretien.
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