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Valoriser les dons de chacun

«Je n’ai pas besoin d’un intello dans ma chambre !». Cet avertissement est resté affiché sur la porte de la chambre de ma fille plusieurs jours. A qui s’adressait-il? Vous le devinez? Pas au chat, il ne porte pas de lunettes  ! Ni à ses parents, ils ne sont pas assez savants à ses yeux... A son grand frère ado, pardi ! Celui-ci a la fâcheuse tendance à la traiter de «nulle» quand ils se disputent ou lorsqu’elle ne comprend pas les choses assez rapidement ! Et là, je repense à mes copines, filles uniques, qui rêvaient d’avoir «un grand frère» pour les prendre sous leurs ailes à la récréation ou les emmener à leurs premières «boums». Oui mais voilà, dans la réalité, avoir un grand frère n’est pas aussi idéal que ça. Il faut trouver sa place à côté d’un aîné qui, de par ses années d’avance, en sait déjà beaucoup plus sur la vie ! Qui parfois, aussi, a plus de facilité ou de meilleures notes à l’école. Alors en découvrant ce message sur la porte de ma fille, j’ai trouvé positif qu’elle exprime son ressenti et mette ses limites à son frère. Mais cela m’a aussi interpellée sur notre rôle de parents. Nous ne pourrons pas empêcher nos enfants de se comparer ou d’être stimulés par une forme de compétition. Mais nous pouvons valoriser les dons et capacités de chacun, de manière à ce qu’ils se sentent uniques et que leur place dans la famille soit reconnue. Les parents sont peut-être aussi les mieux placés pour organiser des activités familiales où tous sont sur pied d’égalité. Ma fille, depuis qu’elle a découvert qu’elle pouvait tout à fait rivaliser avec son aîné au baby-foot, s’entraîne d’arrache-pied! Et comme l’écrivent les auteurs de Enfants à risques, enfants à promesses, présenté en fin de magazine, l’adversité rencontrée par nos enfants, si elle est traversée avec un adulte bienveillant, sera source de développement de son potentiel et de sa personnalité.

«Je n’ai pas besoin d’un intello dans ma chambre !». Cet avertissement est resté affiché sur la porte de la chambre de ma fille plusieurs jours. A qui s’adressait-il? Vous le devinez? Pas au chat, il ne porte pas de lunettes  ! Ni à ses parents, ils ne sont pas assez savants à ses yeux… A son grand frère ado, pardi !
Celui-ci a la fâcheuse tendance à la traiter de «nulle» quand ils se disputent ou lorsqu’elle ne comprend pas les choses assez rapidement !
Et là, je repense à mes copines, filles uniques, qui rêvaient d’avoir «un grand frère» pour les prendre sous leurs ailes à la récréation ou les emmener à leurs premières «boums». Oui mais voilà, dans la réalité, avoir un grand frère n’est pas aussi idéal que ça. Il faut trouver sa place à côté d’un aîné qui, de par ses années d’avance, en sait déjà beaucoup plus sur la vie ! Qui parfois, aussi, a plus de facilité ou de meilleures notes à l’école.
Alors en découvrant ce message sur la porte de ma fille, j’ai trouvé positif qu’elle exprime son ressenti et mette ses limites à son frère. Mais cela m’a aussi interpellée sur notre rôle de parents. Nous ne pourrons pas empêcher nos enfants de se comparer ou d’être stimulés par une forme de compétition. Mais nous pouvons valoriser les dons et capacités de chacun, de manière à ce qu’ils se sentent uniques et que leur place dans la famille soit reconnue.
Les parents sont peut-être aussi les mieux placés pour organiser des activités familiales où tous sont sur pied d’égalité. Ma fille, depuis qu’elle a découvert qu’elle pouvait tout à fait rivaliser avec son aîné au baby-foot, s’entraîne d’arrache-pied! Et comme l’écrivent les auteurs de Enfants à risques, enfants à promesses, présenté en fin de magazine, l’adversité rencontrée par nos enfants, si elle est traversée avec un adulte bienveillant, sera source de développement de son potentiel et de sa personnalité.

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