Un ventre prêté pour notre bébé
Atteinte d’une malformation, Sylvie ne peut pas porter d’enfant. Mais comme ses ovaires fonctionnent, son mari et elle ont d’abord essayé la fécondation in vitro. Sans succès. Ils ont alors eu recours à un don d’ovocyte puis à une «gestatrice» pour porter leur enfant.
A l’instar de Sylvie et Dominique, des couples confrontés à l’infertilité peuvent être tentés par la «Gestation pour autrui» (GPA). Quel regard poser sur cette démarche, interdite en France et en Suisse mais tolérée en Belgique?
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