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Après le décès du conjoint, oser reconstruire une vie heureuse

© Istockphoto
Quand une union se termine par le décès soudain de l’un des conjoints, celui qui se retrouve seul démarre dès lors un chemin de vie douloureux: celui de la reconstruction.
David Nadaud

Guillaume a perdu son épouse Flavy d’une méningite foudroyante, après douze ans de mariage. Il témoigne: «Pour moi le “je” n’était pas facile à dire. En tant que papa de cinq enfants de deux à douze ans, j’utilisais davantage le “nous”. J’ai vécu un tsunami, mais la pensée qui m’a habité dès le départ, c’est qu’il allait y avoir un lendemain: la vie ne s’arrêtait pas pour moi et les enfants. Pas forcément un lendemain meilleur, mais un lendemain heureux, c’était ma conviction et mon espérance.»

Dossier: Toi, moi, nous... l’art d’être en couple sans s’effacer
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Lors des rencontres et des repas avec sa belle-famille, surtout quand on ne se voit pas souvent, un avis différent peut vite créer des tensions. Mieux vaut tourner sept fois sa langue dans sa bouche…

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