Jacqueline, 79 ans, ne se souvient pas avoir beaucoup joué étant petite, encore moins avec ses parents bien trop absorbés par leurs tâches respectives. Elle-même n’a jamais joué avec ses enfants: «Je n’aime pas jouer et je trouve que cela ne sert à rien, surtout aux cartes. C’est ce que mon père disait et je partage son opinion.»
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En grandissant, les adolescents ne sont pas toujours à la hauteur des attentes de leurs parents. Cette dynamique de déception néfaste est pourtant surmontable.
Ils se sont mariés en sachant qu’ils allaient au-devant de difficultés à avoir une famille. Procréation médicalement assistée, espoirs et deuils… et la foi dans tout ça?
Entre la discipline militaire et l’accompagnement laxiste, il existe un juste milieu. Il s’agit d’une éducation qui pose assez de limites pour que la liberté des enfants puisse prendre son envol.
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