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Une maison familiale peut être un havre de paix… ou un château de discorde

© Istockphoto
La «maison familiale» n’est plus qu’un souvenir pour de nombreuses familles. Mais certaines font perdurer ce souvenir. En s’ouvrant entre autres aux amis, en se partageant ou en se «vivant» autrement, cette maison reste un repère, une ancre solide, une aire de repos fondatrice marquant un arrêt au cœur de nos vies denses et toujours plus itinérantes. Pour d’autres, hélas, elle s’apparenterait plus à un cadeau empoisonné. Témoignages.
Sandrine Chansel

Une maison est bien plus qu’un patrimoine matériel. Résidence première ou secondaire, qu’on y soit toute l’année ou juste pour les vacances, elle nous construit, d’une certaine manière. Et qui plus est lorsqu’elle abrite nos - meilleurs - souvenirs d’enfance. Jo, 47 ans, raconte: «Quand j’étais petite, mes grands-parents ont acheté une ancienne pension de famille avec des amis de leur groupe de prière. Ils s’y retrouvaient pour leurs activités et le reste du temps, on y allait en famille. Chaque propriétaire avait deux chambres, on s’arrangeait avec les autres. On y a aussi fait des week-ends de groupe de jeunes! C’était génial. Avec ma sœur, mes cousins, cousines et des copains d’enfance, on y a passé toutes nos vacances.»

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