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Fausse couche: accepter la (non) souffrance de l’autre

© Istockphoto
Touchant 15% des grossesses, la fausse couche peut impacter de façon conséquente la famille. Germaine Pomier, conseillère conjugale et familiale et infirmière en maternité à Villeurbanne, donne ses conseils pour se reconstruire en famille.
Anaïs Sorce

Comment définir la fausse couche?

Je considère que c’est l’expulsion spontanée d’un œuf, d’un embryon ou d’un fœtus qui n’est pas le fruit d’une interruption de grossesse médicalisée ou médicamenteuse. Ellepeut être provoquée par un traumatisme, une maladie, une anomalie chromosomique… Après un certain nombre de semaines d’aménorrhée (SA – 15 en France, 22 en Suisse), une fausse couche nécessite un accouchement et l’enfant peut être déclaré: le deuil est différent.

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