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Derrière l’atypisme, un enfant à part entière

© Anne Bidaux (elvy)
Catalogués d’hypersensibles, dys, autistes, précoces ou TDA/H, les enfants atypiques se passeraient bien de leur étiquette. Si certains font l’autruche, d’autres n’en retiennent qu’une image négative. Heureusement, une troisième voie est possible pour s’accepter et vivre en toute liberté.

A bien le reconnaître, parents et enseignants ne sont pas toujours prêts à admettre le fonctionnement atypique de leur enfant. Une situation que la psychologue Fanny Martorana observe chez les parents pour qui cette différence vient d’abord pointer une notion d’échec.

Le diagnostic vécu comme une aide

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«Le déni a pour fonction de ne surtout pas faire ressentir la culpabilité. On ne peut pas reprocher aux parents de tarder à consulter et de demander un diagnostic. Mais quand ils le font, j’insiste sur le fait qu’investiguer aide d’abord à mieux comprendre leur enfant», explique la psychologue. Un investissement familial qu’elle encourage aussi par la lecture d’ouvrages tout en insistant sur la démarche: «Quand un diagnostic est fait correctement, il ne s’agit pas seulement de chiffres. L’enfant est pris dans sa globalité pour mesurer ses besoins en habilités sociales, confiance en soi et apprentissage des émotions.»

Dossier: Enfants atypiques
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